A tumbera, du porc vivant à la charcuterie
Le froid de l’hiver est le signal de a tumbera : tuer le porc engraissé plusieurs mois, le dépecer, le transformer en charcuterie. Lonzu, coppa, figatelli, saucisses, jambons : tout est bon dans le cochon, rien n’est à jeter.
Mais charcuter le cochon est aussi un rite. Rite social : on travaille en famille ou entre amis avec une répartition des tâches liée aux connaissances de chacun et l’on déguste ensemble.
Rite culturel : on utilise les recettes ancestrales, les ustensiles familiaux, le savoir-faire transmis de génération en génération. Aujourd’hui a tumbera, n’existe quasiment plus à Pietracorbara. Mais ces photographies, qui datent des années 80, rappellent le temps des cochonnailles.
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